Joignez
l’agréable à l’utile

Repenser sa communication ne doit pas être un pensum, une corvée faite de questionnaires et autres marches forcées.
Avec walter georges henri, faire monter en gamme votre communication digitale et votre communication print a pour point de départ un moment privilégié, chaleureux, bienveillant, un dialogue où les digressions sont encouragées, nourries, prolongées.
Bien sûr, la matière ainsi recueillie forme une forêt dense où se perdrait le manuel-du-parfait-communicant.
Cette forêt luxuriante est le domaine de prédilection de walter georges henri.
Le dialogue,
au cœur de la méthode
walter georges henri
Alexandre Prévert : « La poésie aura le dernier mot. »
Bruno Bouché : « Ce que j’essaie de mettre en place, c’est un cadre qui laisse toute sa place à la singularité. »
David Gauchard : « Je sentais que le métier de modèle vivant pouvait être au milieu de contradictions assez fortes. »
Chitro Shahabuddin : « La peinture est indispensable à mon équilibre. »
Camille de Cussac : « J’aime utiliser des couleurs très vives, denses, fortes. »
Silvère Jarrosson : « Je ne partage pas la vision qui voudrait que la peinture soit arrivée dans une impasse. »
Marjory Duprés : « Apprendre à déplacer nos horizons d’attente. »
Leila Nour Johnson : « Par essence, mon corps est politique. »
Thibaut Manent : « Un pot de Papa Outang permet de protéger 1 mètre carré de forêt tropicale en Indonésie. »
Saki : « J’entreprends la création d’une vidéo comme une chorégraphie. »
Ali Arkady : « Au Moyen-Orient, nous ne ressentons pas de la même manière l’espoir et le désespoir. »
Joséphine Brueder : « L’image a envahi notre environnement. »
Lisa Guez : « Comprendre comment chaque femme peut se libérer du conditionnement. »
Agathe Charnet : « Il faut changer de regard sur la maladie d’Alzheimer. »
Louis Arene : « Le masque est un artifice qui sert à construire un édifice. »
Aller au-delà de la couche superficielle de matière à laquelle l’interview traditionnelle se limite : ce fut le point de départ de ma réflexion, lorsque je commençai une série d’entretiens avec metteurs en scènes, autrices et auteurs, actrices et acteurs dans le cadre du Festival d’Avignon, il y a une dizaine d’années.
Au fil de 160 entretiens avec des personnalités du théâtre contemporain et plus largement du monde artistique, j’ai affiné une technique où l’interview est repensée comme dialogue. Au sein du dialogue, le propos, bien plus riche, est libéré des questions prévues à l’avance. Les questions apparaissent de manière naturelle, en fonction du propos recueilli.